GIRARDEAU, Astride, Le piratage et ses effets positifs sur l’économie, [En ligne], http://www.liberation.fr/ecrans/2009/01/20/le-piratage-et-ses-effets-positifs-sur-l-economie_958798, (Page consultée le 21 février 2016)

LAUSSON, Julien, Un studio explique que le piratage est positif pour les ventes, [En ligne], http://www.numerama.com/magazine/19504-un-studio-explique-que-le-piratage-est-positif-pour-les-ventes.html, (Page consultée le 23 février 2016)

DELAHAYE, Sébastien, Pirater plus pour acheter plus, [En ligne],

http://www.liberation.fr/ecrans/2007/11/05/pirater-plus-pour-acheter-plus_957846?page=article (Page consultée le 19 février 2016)

DELOISON, Guillaume, Pourquoi le piratage est bon pour les artistes, [En ligne], https://guillaumedeloison.wordpress.com/2015/04/23/pourquoi-le-piratage-est-bon-pour-les-artistes/, (Page consultée le 23 février 2016)

TÉTU, Martin, Des vertus culturelles du piratage à l’ère numérique : ou comment le peer-to-peer peut contribuer à la circulation du patrimoine québécois et à la diversité culturelle, [En ligne], http://ethiquepublique.revues.org.acces.bibl.ulaval.ca/1015, (Page consultée le 28 février 2016)
 

BEKIR, Insaf, Le piratage peut-il être profitable à la firme piratée ? [En ligne], https://www.cairn.info/revue-economique-2010-4-page-793.htm (Page consultée le 28 février 2016)

Gouvernement du Canada, Le piratage informatique du site Web d’un musée pour une cause noble, [En ligne], http://www.rcip-chin.gc.ca/sgc-cms/nouvelles-news/francais-french/?p=7155, (Page consultée le 27 février 2016)

LANGLAIS, Pierre-Carl, Le droit d’auteur fait vivre qu’une infime minorité d’artistes, [En ligne], http://rue89.nouvelobs.com/rue89-culture/2015/04/08/droit-dauteur-fait-vivre-quune-infime-minorite-dartistes-258577 (Page consultée le 29 février 2016)

TVA Nouvelles, Un hacker québécois embauché par Apple, [En ligne], http://www.tvanouvelles.ca/2016/01/29/un-hacker-quebecois-embauche-par-apple (Page consultée le 26 février 2016)

Catherine Gagné est bloggueuse, activiste pro-piratage, défenseuse de l'accès gratuit aux à la culture, et tricoteuse de pull pour chats le reste du temps. Son combat contre l'illégalité du piratage a commencé il y a dix ans, quand elle partageait des patterns de tricot au format PDF sur un forum qu'elle avait lancé avec d'autres amoureuses de la laine.

Elizabeth Gagnon, hackeuse à temps partiel et grande amoureuse des chihuahuas, a consacré sa vie à l’élevage à domicile d’une vingtaine de petits chiens. C’est en avril 2014 que les autorités ont découvert son activité illégale et l’ont obligée de se départir de ses chihuahuas adorés. C’est depuis cette triste date que mademoiselle Gagnon s’est jointe au groupe PETA en tant que hackeuse professionnelle afin de se venger du gouvernement et de faire connaître cette organisation.

Kariane Ferguson est écrivaine pour enfants, ferventes défenderesse des droits des tortues géantes des Îles Galapagos, où elle passe la majorité de ses étés, et accorde une importance primordiale au libre-droit du piratage informatique. Elle a commencé à manifester pour cette loi il y a quelques années alors qu'elle amorçait ses maintes campagnes de sensibilisation sur les tortues et que le téléchargement de photos et d'informations devenait fondamental au bon déroulement de ses projets

Elisa Gaudreau est à la tête du groupe de recherche GAC, Guérir grâce aux Animaux de Compagnie. C’est à la suite d’une découverte scientifique époustouflante qu’elle a décidé de s’engager dans la lutte pour la légalisation du piratage. Elle a en effet réussi à démontrer que certains miaulements particulièrement connus le monde du cinéma et de la télévision permettaient de réduire considérablement les symptômes de la dépression. Il devient dès lors intolérable à ses yeux de ne pas faire circuler librement un remède pourtant si accessible.

C’est en nous rencontrant pour notre déjeuner annuel en ligne, chacune équipée de notre casque à écouteur pour placoter par Skype, et de nos animaux de compagnie préférés, que nous (Elisa, Catherine, Élizabeth et Kariane) avons pris la décision de nous lancer dans ce manifesto.

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Nos carrières, et nos vies, s’étaient toutes d’une manière ou d’une autre entrecroisées à cause de nos actions et de nos prises de parole dans le monde du piratage et du droit à l’accès gratuit à la culture.

Chacune d’entre nous, grâce à nos spécialisations particulières, et notre volonté de faire passer un message, était prête à relever le défi qu’était de faire connaître au monde les bons côtés du piratage informatique et du piratage culturel.

Nous présentons notre manifesto, œuvre informative et revendicatrice, comme témoignage de nos intentions.